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samedi 20 mars 2010



In my blog, I was always bitching about what I thought was a miserable life, dedicated to work essentially. After seeing this canadian document made by Jessica Leeder called Behind The Veil.
I pity myself for complaining about insignificant problems. This document shows how women in Afghanistan face at a young age forced marriage, sold by their own family to men three times their age, it also shows how they struggle to live in those conditions: beaten and humiliated by everyone
It’s a true story that unveil the hidden truth about women conditions in stigmatized oppressive country like Afghanistan, sadly this phenomena exist in all Arabic muslims countries even Tunisia. A lot of tunisian women suffer in silence, their voices suffocated, and they have no one to speak on their behalf.


J’aimerai tant que ma vie soit plus simple, moins prévisible, savoureuse et enivrée à chaque instant. Où le temps n’a pas de limite, où l’argent est poussière, où les lois et les codes qu’on s’est fixé nous les humains bêtes que nous sommes, ces codes qui inhibent nos êtres et nous suffoquent disparaissent. J’envie les gens qui vivent sans se poser des questions, qui travaillent toute la journée alors que le monde leur tourne autour sans s’en soucier, qui pour le dira t on se marient, aient des enfants par providence, ou parce ce que la procréation est une obligation, et qui continuent à vivre dans un bonheur béat jusqu'à ce que la mort les séparent. Ces gens là, qui portent un regard plus simple sur leurs existences, j’aimerai être à leurs places, j’aimerai ne plus me poser de questions quant à ma finalité sur terre, quant à mon avenir, et condamner mon cerveau au mutisme, pour ne plus me tracasser pour le lendemain. Je veux être inconsciente et inerte, je veux me libérer de mes pensées, ces pensées qui me pèsent, et peut être qu’ainsi je retrouverai la paix. Ce que je désire par-dessus tout est simple : Je veux exister pour vivre, et ne pas subir mon existence.

dimanche 7 mars 2010


Les tunisiens sont ce qu’on appelle des spécimens uniques en leurs genres, simples d’esprit mais bourrés de complexes. Complexe d’infériorité, complexe de supériorité, tout dépend de la classe sociale, je ne vais pas interpeller les maux des plus démunis, ni reprocher aux riches leurs fortunes.