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mardi 18 mai 2010


Facebook est en phase de devenir le seul moyen d’échange entre les tunisiens, une majorité en tout cas, vu le nombre de profils tunisiens qui se créent via ce réseau social 1,4 millions de comptes, le fanatisme dépasse l'entendement, nous sommes devenus une population de Facebookeurs accaparés à un monde virtuel.

dimanche 2 mai 2010

Monsieur le Président de la République,

Par la présente, nous avons l'honneur d'attirer votre attention sur un sujet qui préoccupe un grand nombre de tunisiens.

Depuis son indépendance l'État tunisien a toujours été porteur de progrès par ses politiques en faveur de l'éducation et la formation, par l'incitation ou encore par l'exemplarité.

mardi 6 avril 2010




Elle et lui, ils se sont connus sur les bancs de la fac, ils se sont aimés, puis ils ont décidé de se marier.
Vint le moment des fiançailles, la mère de sa dulcinée lui imposa d’acheter une bague ornée de diamants, ainsi qu’une belle villa sur les hautes collines de Carthage. Pour les beaux yeux de son bien aimé, il se plia à ses souhaits sans rechigner.

samedi 20 mars 2010



In my blog, I was always bitching about what I thought was a miserable life, dedicated to work essentially. After seeing this canadian document made by Jessica Leeder called Behind The Veil.
I pity myself for complaining about insignificant problems. This document shows how women in Afghanistan face at a young age forced marriage, sold by their own family to men three times their age, it also shows how they struggle to live in those conditions: beaten and humiliated by everyone
It’s a true story that unveil the hidden truth about women conditions in stigmatized oppressive country like Afghanistan, sadly this phenomena exist in all Arabic muslims countries even Tunisia. A lot of tunisian women suffer in silence, their voices suffocated, and they have no one to speak on their behalf.

dimanche 21 février 2010


Je m’indigne de la bassesse que peuvent témoigner certains hommes à l’égard des femmes dans le milieu professionnel. Je ne vous apprends rien, le sexisme au travail est un phénomène de société qui persiste hélas de nos jours. Quelque soit nos compétences, on est jugéees par notre appartenance à un sexe jugé faible, ou notre apparence. Ce genre d’hommes se donne le droit de nous dévaloriser, et de nous traiter en femme objet. Les exemples de ce type de comportement sont innombrables : dans les relations entre collègues, une femme qui se valorise se voit traitée de séductrice, une féminité affichée sans excès est jugée comme étant la porte ouverte à toutes les tentatives à caractère sexistes. Sans parler des relations entre supérieurs et salariée un rapport de domination par nature qui illustre dans certains cas l’inégalité homme femme.
A qui la faute à nous les femmes qui assumons notre féminité ou aux hommes dont les mentalités peinent à évoluer? Ces hommes atteints d’un syndrome fortement répandus appelé perversion refoulée, si on leur pose la question, ils nous diront que c’est à nous qu’incombe la responsabilité, et que notre apparence est la cause majeure. Voir la seule raison qui fait que l’attitude des hommes à l’égard des femmes au travail peut revêtir un aspect relationnel trouble, et dans des cas extrêmes virer à l’harcèlement sexuel. Un fait inquiétant qui existe mais qui demeure un sujet tabou en Tunisie, des victimes qui gardent le silence par crainte du regard de la société. Une société sévère à l’encontre des femmes mais qui pardonne aux bourreaux ! Allez savoir pourquoi ? Que faire ? Faut t –il réprimer et voiler notre féminité, pour être traitée au même pied d’éstal que nos confrères hommes ? Ou garder le silence sur ces pratiques laissant ces hommes vivre en toute impunité de leurs actes quelque soit leurs gravités…Il est vrai qu’en Tunisie, élever sa voix contre une quelconque puissance est souvent réprimandé, mais faut t-il pour autant accepter de telles conditions et perpétuer le mal aux générations futures?

jeudi 7 janvier 2010


Voila que commence une nouvelle année avec son lot d’espoir et de détermination. On veut changer nos mauvaises habitudes, on veut refaire notre vie et pourquoi ne pas refaire le monde ! Une utopie à laquelle tout bon citoyen conscient devrait y songer. Dans cette terre agonisante, aux abords de l’asphyxie dans ce monde ou prône le capitalisme l’industrialisation et la quête de richesse, un réveil de conscience s’impose, cette accalmie face à une nature en furie se doit de cesser.
Comment sauver notre planète d’un effondrement e écologique et l’humanité d’une mort certaine ?
Arrêter de fuir la réalité et de croire que le réchauffement climatique n’est qu’une tendance fortement médiatisée, mais bel et bien une triste réalité. Se détacher lentement de cette spirale infernale qu’on appelle la consommation une crise culturelle sans fin, faisant la richesse de certains, et noyant la conscience du peuple dans le déni et l’illusion. Se désunir de ses réflexions égoïstes et condamner l’indifférence d’une humanité passive, qui maltraite cette terre léguée par nos parents et qui sera un jour qu’un triste héritage pour nos enfants. Ces orientations aux quelles chacun devrait s’y pencher le temps d’une pensée, ne sont certes que le reflet de ce qu’on pourrait faire pour sauver notre terre.
Mais les réflexions, actions et les gestes de chaque personne, minimes soient t-ils comptent et sont à prévoir pour arrêter un massacre écologique, qui s’annonce lors de cette ère avec des allures de fin tragique.